Comment éviter les pièges de l’examen du code de la route ?

examen du code de la route


Passer le code peut être une épreuve de longue haleine pour certains. La preuve : la moyenne nationale affiche un taux de réussite de 65 % au premier essai. Cet examen nécessite une bonne connaissance de la signalisation routière et notamment des panneaux indiquant un danger. Des pièges se glissent dans les différents questionnaires et seul un apprentissage sérieux et méticuleux peut garantir le succès.



Un point sur les panneaux de danger du code de la route


Pour réussir son examen théorique du code de la route, le candidat doit connaître ses panneaux de signalisation routière "sur le bout des doigts" pour répondre juste à 35 questions minimum sur les 40 posées. Parmi les plus importants, les panneaux de danger sont conçus de façon à informer précisément et à avertir d'un risque potentiel.


Singularisés par un contour de couleur rouge, de forme triangulaire, ces panneaux affichent un symbole précis. La première différenciation concerne l'intérieur du panneau : le blanc indique un danger récurrent tandis que le jaune marque un risque temporaire. La seconde différenciation porte sur le ou les symboles au centre. Si certains sont facilement reconnaissables comme la barrière mobile ou le tramway, d'autres restent plus abstraits : celui indiquant une chaussée rétrécie sur la gauche ou sur la droite, celui montrant un virage dangereux ou encore celui représentant une route glissante.



Repérer les différentes signalisations pièges


Eviter les pièges revient à effectuer une lecture précise de l'image à l'écran et de la question posée. Les panneaux de danger peuvent apparaître en arrière plan et modifier la situation de l'automobiliste. Il est donc important de vérifier chaque élément et de ne pas se précipiter pour apporter une réponse.


Autre facteur perturbant : certains panneaux de danger se ressemblent beaucoup comme les signalisations A13 et A14, représentant respectivement un dos d'âne et un dispositif surélevé. Si la conduite à tenir est plus ou moins la même, des questions pièges peuvent accompagner ces deux signaux. Tout aussi subtile, la différence entre certaines interdictions oblige à une grande vigilance de la part du candidat au code.
Le panneau C1 et le panneau C3 par exemple interdisent l'accès mais pas forcément à tous les conducteurs. En effet, le deuxième panneau indique bien un accès interdit dans les deux sens, mais un autre panneau situé en dessous peut permettre aux riverains d'emprunter ce passage.


Il peut être difficile de retenir la signification de l'ensemble des panneaux routiers en tenant compte de leur forme et de leurs symboles. Ce n'est qu'en s’entraînant et en revoyant régulièrement les cours que les automatismes apparaissent et que la compréhension des divers signaux se fait.



S’entraîner au code en ligne et réussir son examen


Passer le code demande un entrainement régulier et assidu. C'est pourquoi réviser son code, avec une auto-école en ligne reconnue par l'État, est si apprécié des candidats. Chacun revoit les questions à son rythme, selon ses disponibilités et surtout, sans avoir à se déplacer. Parfaitement adaptés aux exigences, les contenus proposés tiennent compte de la réforme de 2016 et les nouvelles thématiques sont particulièrement approfondies. Des mises à jour ont lieu dès que la loi évolue.


Différents avantages en ressortent :

  • Un nombre infini de questions est à disposition, avec les explications et les cours de référence.
  • Les tests et examens blancs permettent de se mettre dans les conditions réelles de l'examen.
  • L'entrainement est illimité durant une période définie à l'avance (généralement 12 mois).
  • Le suivi de la progression grâce aux statistiques et le support réalisé par des enseignants qualifiés garantissent un meilleur apprentissage.
  • Certains sites spécialisés proposent la réservation de l'examen dans n'importe quel centre, directement depuis l'espace candidat. L'inscription est rapide et rapidement confirmée.

Cette solution est idéale pour tous ceux qui préfèrent se consacrer à la révision de leur code en soirée, le week-end, durant les jours fériés ou dès qu'ils ont un moment de libre : dans les transports en commun, pendant l'interclasse ou la pause méridienne, etc.

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