On n’osait même pas dévoiler ses difficultés personnelles, il n’y a pas si longtemps et les maladies mentales étaient un sujet très délicat que l’on se gardait d’évoquer en public. Parler de quelqu’un qui vivait des troubles psychiatriques n’était pas si évident. Visiter un psychologue, psychothérapeute ou psychiatre était tout simplement une honte. Les choses on changées dans le bon sens et l’on se rende de plus en plus chez le psy pour des petites difficultés comme pour les pathologies graves.
Ce revirement total de la vision de la société envers la psychologie et les dysfonctionnements psychiatriques est du en partie au travail des professionnels de la psychiatrie et à leurs méthodes de prise en charge des patients.
Force à constater en visitant un cabinet de psychologue, de la nature de l’accueil et de la réalité décorative des lieux que l’on aborde un lieu de loisir plus qu’un cabinet de praticien à qui l’on demande de soulager nos souffrances. Les cabinets des psychologues se caractérisent en ce sens par :
En épluchant les descriptifs et les fiches publicitaires des spécialistes de la psychanalyse vous constaterez sans aucun doute plusieurs superlatifs de type : spécialisée en thérapies cognitives, spécialiste en thérapie comportementales, en thérapie de couple… et la liste peut s’allonger.
En vrai les gens vont chez le psy pour trouver des réponses thérapeutiques pour tous leurs soucis psychologiques, des plus passagers et anodins au plus sérieux :
En plus de la liste loin d’être exhaustive précédente des troubles et dysfonctionnements comportementaux et relationnels que l’on cherche à soulager par l’intervention d’un psy on peut s’y rendre pour d’autres raisons telles :